L’ouvrage Sois jeune et tais-toi de la journaliste Salomé Saqué ambitionne de porter la voix des jeunes jusqu’aux oreilles de leurs aînés. Retour sur une enquête objective et précieuse.
La jeunesse a fait l’objet de nombreuses études et enquêtes ces dernières années… et elles dressent un portrait des jeunes différent des jugements hâtifs, bien plus complexe et nuancé qu’on voudrait croire.
Mener un projet de solidarité internationale avec des enfants et/ou des jeunes ne s’improvise pas. Il est primordial de se former. Des formations sont accessibles et il est possible de « s’auto-former ». Le jeu Cultionary est un bon support pédagogique.
À Moulay Idriss, une ville au Nord du Maroc, de jeunes volontaires français et marocains se sont retrouvés pour un chantier international, déclinant les mots « solidarité internationale » avec les mots « rencontre », « découverte », « échange » et la prise de conscience des enjeux en matière de développement durable. Voyons, à travers cet exemple, à quoi peut ressembler un projet de solidarité internationale.
Dans un monde où l’entreprise et la création de richesse sont la règle, travail et engagement se mélangent. L’engagement est alors un sous-travail sous-payé. Un exemple ? Le contrat d’engagement éducatif.
Le Président de la République a confirmé lors de ses vœux sa volonté d’instaurer le Service national universel. Mais pour quoi faire ?
Une directive nationale d’orientation datée du 19 octobre 2022 a été publiée au Bulletin officiel du ministère de l’Éducation nationale et de la Jeunesse (MENJ). Elle concerne le pilotage et la mise en œuvre pour l’année 2022-2023 des politiques de jeunesse, d’engagement civique et de sport.
Après la possibilité de s’inscrire au Bafd à 18 ans au lieu de 21 ans, les jeunes peuvent désormais participer à la première saison de formation générale du Bafa dès qu’ils ont atteint leur seizième anniversaire. Cette décision fait partie des vingt-cinq mesures annoncées dans le cadre du plan gouvernemental « Pour un renouveau de l’animation en accueils collectifs de mineurs ».
Le Réseau national de la participation enfance jeunesse (Anacej) promeut depuis plus de 30 ans la participation des jeunes à la décision publique. Il accompagne ainsi les collectivités et les acteurs de l’éducation populaire désireux de mettre en place une démarche participative. Retour sur une action méconnue mais pourtant fondamentale, accessible à tous.