L’école – publique, privée ou alternative –, les centres de loisirs, les colos, mais aussi la formation professionnelle, sous couvert d’une quête d’épanouissement personnel et de bien-être, sont la proie de nouveaux gourous, alertant les autorités et acteurs éducatifs.
Les nouveaux gourous recrutent sur la Toile et les réseaux sociaux, surfant sur les manques de notre société (mal-être, développement personnel, santé alternative, notamment depuis la crise sanitaire. Entre la quête de sens et l’emprise mentale, il n’y a parfois qu’un clic.