Bétharram, Riaumont, Châteauroux… les violences sur les enfants dans des établissements scolaires font la une de l’actualité. Mais qu’en est-il dans les ACM ? Que fait-on de la parole des enfants en ACM ? Deux rapports répondent à cette question et ce n’est pas glorieux.
Les 27 et 28 janvier, Caroline Cluzel, formatrice accréditée Premiers secours en santé mentale (PSSM), dispensait une formation « module jeunes », à Clermont-Ferrand (63). Notre journaliste, Isabelle Wackenier, s’est glissée (presque) incognito parmi les stagiaires…
Après un long hiver passé à l’intérieur, enfants et animateurs n’ont qu’une envie : profiter au maximum des longues journées ensoleillées en passant du temps dehors. Mais certains de ces moments si attendus peuvent être gâchés par la présence d’insectes piqueurs, certains étant plus dangereux que d’autres, et les plus redoutables n’étant pas forcément ceux qui font le plus peur aux enfants. Passons en revue les trois familles d’insectes les plus courants et leurs risques : hyménoptères (guêpes, abeilles, etc.), moustiques et tiques.
L’esprit critique n’est pas une compétence mais une posture intellectuelle qui permet de questionner le monde, d’analyser et évaluer les informations. Le numéro 250 du Journal de l'Animation, entièrement consacré à cette thématique, nous l’espérons, sera l’occasion de la mettre en pratique.
Thomas C. Durand, aussi connu sous le pseudonyme d’Acermendax, anime la chaîne YouTube La Tronche en Biais, consacrée à l’esprit critique et à la zététique, suivie par plus de 300 000 personnes. Il est par ailleurs le cofondateur de l’Association pour la science et la transmission de l’esprit critique (Astec).
Une action exemplaire se déploie, à bas bruit, depuis bientôt 25 ans. Elle promeut la citoyenneté, en combattant le racisme, les discriminations, les infox auprès des jeunes scolarisés et des professionnels de l’animation. Le Journal de l’Animation est allé à la rencontre des actrices et acteurs de ce programme mené à travers toute la France par la Fédération Léo Lagrange.
Pour contrer les risques de dérives sectaires au sein de sa structure, dans le cadre d’une formation ou dans son entourage, quelques réflexes sont à adopter, permettant d’aiguiser son esprit critique.
Jean-Michel Bocquet est pédagogue, chargé de cours en sciences de l’éducation à l’université Sorbonne Paris Nord et à l’Institut catholique de Paris, conseiller technique à l’Aide sociale à l’enfance (ASE). Chroniqueur pour Le Journal de l’Animation, il interroge les questions éducatives et pédagogiques liées au secteur de l’animation.
Enseignante, conseillère nationale pédagogie et numérique à l’Unsa-Éducation, Stéphanie de Vanssay milite contre les nombreuses dérives qui infiltrent l’école et plus largement tous les lieux d’éducation. En 2023, elle a créé le site Dérives scolaires pour lequel elle effectue un travail de veille et d’alerte, et publie de nombreux post documentés sur les réseaux sociaux.
L’école – publique, privée ou alternative –, les centres de loisirs, les colos, mais aussi la formation professionnelle, sous couvert d’une quête d’épanouissement personnel et de bien-être, sont la proie de nouveaux gourous, alertant les autorités et acteurs éducatifs.
Les nouveaux gourous recrutent sur la Toile et les réseaux sociaux, surfant sur les manques de notre société (mal-être, développement personnel, santé alternative, notamment depuis la crise sanitaire. Entre la quête de sens et l’emprise mentale, il n’y a parfois qu’un clic.
Depuis 2019, en Alsace, Sébastien Wender et Jonathan Defer, tous deux professionnels dans l’animation culturelle, férus de technologie et amoureux du gaming, ont créé Animeicó, une entreprise proposant des interventions dans les domaines du jeu vidéo et de la robotique, afin de sensibiliser les plus jeunes à l’utilisation des nouvelles technologies.