Afin de sortir de cette opposition stérile, il est possible de s’appuyer sur le « croisement des savoirs » théorisé par l’association ATD-Quart Monde. Cette démarche a trouvé depuis des décennies des applications qu’il convient d’encourager et de développer.
Quel apport une action de solidarité internationale peut-elle avoir sur les jeunes ? Pourquoi leur permettre de vivre cette démarche ? Dans quel projet de la structure s’inscrit-elle ? Il est primordial de pointer un certain nombre d’objectifs avant d’engager la démarche avec les jeunes.
Mener un projet de solidarité internationale avec des enfants et/ou des jeunes ne s’improvise pas. Il est primordial de se former. Des formations sont accessibles et il est possible de « s’auto-former ». Le jeu Cultionary est un bon support pédagogique.
À Moulay Idriss, une ville au Nord du Maroc, de jeunes volontaires français et marocains se sont retrouvés pour un chantier international, déclinant les mots « solidarité internationale » avec les mots « rencontre », « découverte », « échange » et la prise de conscience des enjeux en matière de développement durable. Voyons, à travers cet exemple, à quoi peut ressembler un projet de solidarité internationale.