Quel apport une action de solidarité internationale peut-elle avoir sur les jeunes ? Pourquoi leur permettre de vivre cette démarche ? Dans quel projet de la structure s’inscrit-elle ? Il est primordial de pointer un certain nombre d’objectifs avant d’engager la démarche avec les jeunes.
Mener un projet de solidarité internationale avec des enfants et/ou des jeunes ne s’improvise pas. Il est primordial de se former. Des formations sont accessibles et il est possible de « s’auto-former ». Le jeu Cultionary est un bon support pédagogique.
À Moulay Idriss, une ville au Nord du Maroc, de jeunes volontaires français et marocains se sont retrouvés pour un chantier international, déclinant les mots « solidarité internationale » avec les mots « rencontre », « découverte », « échange » et la prise de conscience des enjeux en matière de développement durable. Voyons, à travers cet exemple, à quoi peut ressembler un projet de solidarité internationale.
Le coût moyen d’un séjour de vacances est estimé à 500-600 € la semaine, une somme qui augmente au rythme de l’inflation… Pour une famille très modeste, grâce aux aides existantes, il peut être réduit de plus de moitié, soit environ 25 € pour une journée de vacances.
Médecin généraliste à Lussant, près de Rochefort (17), le docteur Philippe Binder est expert dans le repérage et la prise en charge des addictions et du risque de suicide chez les adolescents. Il est président de l’association Crocus, afin d’aider parents et professionnels de santé à mieux connaître, comprendre et intervenir sur les comportements à risque, et particulièrement ceux des adolescents. Il gère le site medecin-ado.org