L’accueil des mineurs en situation de handicap dans les activités de loisirs est un droit, et refuser cet accès peut être considéré comme une discrimination. Pour autant, dans la réalité, de nombreux obstacles sont à surmonter pour que l’inclusion soit une réussite.
Connaître le jeune et les spécificités de son handicap est essentiel pour adapter au mieux l’environnement et sa pratique. Voici des conseils plutôt globaux pour accompagner au quotidien les jeunes en situation de handicap.
L’accueil d’un mineur en situation de handicap repose sur une collaboration étroite avec ses parents, qui restent, comme pour les autres enfants, les premiers interlocuteurs de l’équipe d’animation. Il est donc essentiel de les rencontrer en amont, idéalement avec le jeune.
L’inclusion des personnes en situation de handicap est un combat marqué par des avancées législatives récentes et des défis persistants. Depuis deux décennies, l’État s’efforce de permettre à tous d’accéder aux services ordinaires, y compris au sport et aux loisirs, mais il reste encore beaucoup à accomplir.
Les 27 et 28 janvier, Caroline Cluzel, formatrice accréditée Premiers secours en santé mentale (PSSM), dispensait une formation « module jeunes », à Clermont-Ferrand (63). Notre journaliste, Isabelle Wackenier, s’est glissée (presque) incognito parmi les stagiaires…
Après un long hiver passé à l’intérieur, enfants et animateurs n’ont qu’une envie : profiter au maximum des longues journées ensoleillées en passant du temps dehors. Mais certains de ces moments si attendus peuvent être gâchés par la présence d’insectes piqueurs, certains étant plus dangereux que d’autres, et les plus redoutables n’étant pas forcément ceux qui font le plus peur aux enfants. Passons en revue les trois familles d’insectes les plus courants et leurs risques : hyménoptères (guêpes, abeilles, etc.), moustiques et tiques.
Jean-Pierre Rosenczveig a consacré toute sa carrière à la protection de l’enfance. Tour à tour juge des enfants, conseiller technique ministériel, directeur d’établissement public, président de plusieurs conseils d’administration, enseignant, expert auprès de l’Unicef, (co)auteur de plus de 25 livres, son éclairage s’imposait dans ce dossier pour expliquer les réponses pas toujours compréhensibles qu’apporte la justice aux violences sexuelles faites aux enfants.
Parmi les situations auxquelles une équipe d’animation peut être confrontée, quelques-unes sont identifiables. Avec autant de pistes de réponses, à ne pas prendre comme des recettes miracles, mais à ajuster en équipe à chaque circonstance singulière.
160 000 enfants violés ou agressés sexuellement chaque année, c’est 1 victime toutes les 3 minutes ! Toute structure d’accueil de mineurs, qu’elle soit scolaire ou extrascolaire, est confrontée à leur présence. Comment identifier une agression ?
La sexualité infantile n’a que peu à voir avec la sexualité adulte. Les signes d’affection faites aux enfants – comme des caresses ou une main sur l’épaule – ne peuvent être assimilées aux agressions sexuelles dont certains sont, hélas, victimes. La confusion est une source de traumatisme pour le petit d’Homme immature.
Il est difficile de ne pas évoquer la notion d’équilibre alimentaire lorsqu’on parle de goûter, ne serait-ce que pour pointer nos mauvaises habitudes !
La présence régulière de fruits (entier, sous forme de salade ou de brochette) au goûter permet d’aborder la notion de saisonnalité avec les jeunes, dès l’âge de 6 ans.