Face à la vie affective et sexuelle, l’équipe d’animation doit avoir une posture commune et des éléments de langage neutres. De la même manière, tous les membres de l’équipe doivent être en mesure de prendre du recul face à leurs propres pratiques et représentations.
Les accueils collectifs de mineurs ont aujourd’hui pleinement conscience de leur rôle éducatif. Pourtant, la plupart des équipes d’animation n’abordent pas la vie affective et sexuelle ; par manque de formation, de compétences, voire par prudence. Pourtant, le sujet est essentiel.
En accueil collectif de mineurs, les enfants ne peuvent être admis que s’ils respectent les obligations vaccinales légales, qui, depuis 2018, dépendent de la date de naissance de l’enfant. Cet article fait le point sur ces obligations.
Les accueils collectifs de mineurs sont des espaces, où la vie relationnelle, affective et sexuelle tient une place non négligeable. Ce sont aussi des espaces différents de l’école, moins formels, au sein desquels les équipes d’animation ont à répondre à des problématiques propres.
Les termes de « compétences psychosociales » ne parlent sûrement pas à tous les animateurs, même si beaucoup les travaillent sans en avoir conscience. Mais vous serez tous d’accord, en les découvrant, pour souligner la nécessité de les intégrer dans vos actions éducatives quotidiennes.
La lutte contre les violences sexuelles et sexistes dans les accueils collectifs de mineurs a été annoncée ces derniers mois comme une priorité ministérielle. Qu’en est-il et quelles dispositions concrètes ont été prises ?
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« Avant toute activité physique, on doit… je vous écoute ? » Permettre aux muscles de débuter un effort tout en douceur, augmenter la température du corps, protéger ses articulations : tant de bonnes raisons de ne pas oublier de s’échauffer !
Donner aux jeunes la possibilité de sensibiliser leurs pairs à des sujets qui les touchent, c’est ce que propose depuis plusieurs années le centre de quartier Robespierre de Vitry-sur-Seine. Dernier sujet abordé : les dangers à consommer de manière régulière et massive du protoxyde d’azote, le « gaz hilarant ».
Depuis sept années, FestiPREV donne la parole aux jeunes à travers des courts-métrages de prévention. Le succès est au rendez-vous. Quand les jeunes parlent aux jeunes, comment cela pourrait-il en être autrement ?