Voici un récapitulatif des principes généraux des CJS.
Acteur reconnu dans le domaine de l’animation culturelle, de la transition écologique et du développement rural, particulièrement dans la région Hauts-de-France, Régis Tirlemont est co-directeur de l’association A Petits PAS et président de La Fabrique coopérative.
Pour la sixième année consécutive, l’été dernier, le centre social La Bourgogne de Tourcoing a impulsé et accompagné une Coopérative jeunesse de services. Un dispositif bien rodé qui s’inscrit dans le projet global de cette structure au sein d’un quartier populaire.
Dans le Pas-de-Calais, l’association A Petits PAS accompagne des jeunes dans leur projet de Coopérative jeunesse de services (CJS). Un enjeu pour ces jeunes de milieu rural qui, à travers leurs prestations, mettent progressivement en place leur entreprise, créent du lien entre les habitants et développent des compétences.
Mener un projet de solidarité internationale avec des enfants et/ou des jeunes ne s’improvise pas. Il est primordial de se former. Des formations sont accessibles et il est possible de « s’auto-former ». Le jeu Cultionary est un bon support pédagogique.
À Moulay Idriss, une ville au Nord du Maroc, de jeunes volontaires français et marocains se sont retrouvés pour un chantier international, déclinant les mots « solidarité internationale » avec les mots « rencontre », « découverte », « échange » et la prise de conscience des enjeux en matière de développement durable. Voyons, à travers cet exemple, à quoi peut ressembler un projet de solidarité internationale.
Le Réseau national de la participation enfance jeunesse (Anacej) promeut depuis plus de 30 ans la participation des jeunes à la décision publique. Il accompagne ainsi les collectivités et les acteurs de l’éducation populaire désireux de mettre en place une démarche participative. Retour sur une action méconnue mais pourtant fondamentale, accessible à tous.