Journal : Dossier
Des destinations exotiques, des activités inoubliables, des séjours surprises… les accueils collectifs de mineurs présentent des programmes d’activités toujours plus attractifs. Cela peut s’expliquer par la baisse de leur fréquentation depuis les années 1960, mais aussi par la dérive consumériste de notre société. Du côté des organisateurs, la légitime recherche de financements présente le risque d’une marchandisation privilégiant l’équilibre budgétaire au projet éducatif. Mais du côté des jeunes, l’effet pervers est d’encourager une posture de consommateur. À l’inverse, une autre approche est possible. Elle existe déjà, pourrait être amplifiée, présentant un atout majeur : la participation. Alors, comment s’y prendre ?