L’union Peuple & Culture fête ses 80 ans. Son nom ne vous dit peut-être rien, mais elle est l’un des partenaires de l’Office franco-allemand pour la jeunesse (Ofaj) depuis sa création, et elle a développé et diffusé de nombreux outils d’éducation populaire et d’autoformation.
Le comité de filière Animation est de nouveau au travail mais peut-on espérer des mesures en adéquation avec les attentes du terrain et certaines d’entre elles, comme la réforme du CEE, ne pourraient-elles pas avoir des conséquences profondes sur l’offre de loisirs ?
La formation initiale et continue dans le secteur de l’animation a subi plusieurs changements ces dernières années et certains, comme la réforme des diplômes Jeunesse, Éducation populaire et Sports (JEPS), sont encore en cours. Quelles sont les prochaines échéances ?
La revalorisation et la réforme du contrat d’engagement éducatif cristallisent à elles seules les difficultés du monde de l’animation à se renouveler et celles de ses acteurs à s’écouter et à s’entendre.
Le secteur de l’animation est en proie ces dernières années à de véritables difficultés socio-économiques. Où en est-on début 2024 ? Les conséquences de la crise sanitaire sont-elles toujours aussi vivaces ? Les problèmes de recrutement aussi forts ? Et que dire de la santé financière des structures ?
Revaloriser les salaires, proposer des conditions de travail respectueuses… sont des premiers pas dans la bonne direction. Pour aller plus loin, il faut repenser le modèle économique du secteur et cela implique de faire des choix tant au niveau local que national.
Malgré le manque d’animateurs, chaque structure de loisirs cherche à tirer son épingle du jeu et à recruter parfois coûte que coûte des animateurs. Les moyens mis en œuvre varient grandement mais il se dégage quelques tendances.