J’ai invité Martine Janner-Raimondi, professeure émérite en Sciences de l’éducation, à participer à une journée d’étude sur la formation en travail social. Et là, j’ai pris une claque intellectuelle…
Quelques structures commerciales ou associatives développent des colos « bien-être » et/ou « relaxation ». Or l’apparition du développement personnel dans les colos pose des questions tant sur leur sécurité que sur le sens même des vacances collectives.
Par
Animer, c’est s’engager dans un ensemble souvent complexe de relations : avec les collègues, les partenaires, les familles… et le public. Chaque public exige de l’animateur une « réflexion d’avant action ». Quand le public est composé d’enfants de 2 à 6 ans, quels sont les points de vigilance à observer ?
« Nous allons faire de la pédagogie pour que chacun comprenne ! » Voilà une affirmation maintes fois répétée par les décideurs devant le refus ou l’incompréhension des personnes. Or le terme pédagogie est ici utilisé comme synonyme de communication ou manipulation, ce qu’il n’est surtout pas.
La question de la mixité de genre en colo, comme dans la société, fait débat et la réponse apportée est bien souvent une absence de mixité, plutôt qu’une réflexion sur le sujet.
Une récente recherche menée dans un laboratoire de psychologie de l’université de Genève démontre que « les camps de vacances favorisent l’altruisme chez l’enfant ». Mais de quoi parle-t-on ?
En février, les Assises de l’animation se réunissaient pour trouver des solutions à la crise de recrutement du secteur. En septembre, rien n’a changé et les associations se sont débrouillées seules durant l’été… Pourtant, j’avais espoir de voir avancer quelques dossiers notamment le Bafa dès 16 ans et un « Bafa européen ».