Ces informations plutôt généralistes autour du goûter permettent de cerner l’importance nutritionnelle de ce temps et de sa place dans notre alimentation quotidienne.
Le goûter a une place à part entière pour les enfants et les adolescents dans l’organisation quotidienne de leurs repas. C’est aussi un temps collectif qu’on imaginera volontiers éducatif dans les accueils collectifs de mineurs.
Afin de sortir de cette opposition stérile, il est possible de s’appuyer sur le « croisement des savoirs » théorisé par l’association ATD-Quart Monde. Cette démarche a trouvé depuis des décennies des applications qu’il convient d’encourager et de développer.
Au sortir de la crise sanitaire, dans cette petite ville des Landes, élus, associations et équipe du service Enfance et jeunesse se sont mobilisés pour renouer du lien entre les générations à travers la découverte du patrimoine local, départemental, régional et national. Un projet mené haut la main qui a permis aux habitants, toutes générations confondues, de retisser du lien.
Les gâteaux présentés précédemment se partageront volontiers autour d’une boisson chaude ou froide. Voici deux exemples de boissons aux saveurs venues d’ailleurs : des pays du nord de l’Europe et du Chili.
Ce pudding du sud-ouest de l’Inde se déguste souvent, pendant les fêtes de fin d’année, au petit déjeuner ou en dessert. Sa particularité : une cuisson couche par couche.
Ces biscuits sablés, odorants et enrobés de sucre glace, sont originaires du monde hellénique. Ils se dégustent en toutes circonstances… et à n’importe quel moment de la journée, en fin d’année. Pour les plaisirs des papilles.
Cette brioche italienne sucrée, aux fruits confits et aux raisins secs, se mange en dessert ou avec des boissons chaudes (chocolat, thé, café...) pendant les fêtes de fin d’année.
Ces petits pains d’épices, recouverts d’un glaçage au sucre ou au chocolat, sont originaires d’Allemagne. Ils se mangent traditionnellement comme des gourmandises, lors des fêtes de fin d’année, autour d’une boisson chaude.
Profitons de cette période charnière, entre 2023 et 2024, pour cuisiner avec les jeunes et organiser un goûter aux saveurs venues d’ailleurs. L’idée ? Vivre un temps de partage, simple et festif, avec tous.
Quel apport une action de solidarité internationale peut-elle avoir sur les jeunes ? Pourquoi leur permettre de vivre cette démarche ? Dans quel projet de la structure s’inscrit-elle ? Il est primordial de pointer un certain nombre d’objectifs avant d’engager la démarche avec les jeunes.
Mener un projet de solidarité internationale avec des enfants et/ou des jeunes ne s’improvise pas. Il est primordial de se former. Des formations sont accessibles et il est possible de « s’auto-former ». Le jeu Cultionary est un bon support pédagogique.