Les dirigeants de Dystopia obligent les habitants à croire en leur idéologie et en un certain nombre d’infox et d’intox qui, comme vous le constaterez, sont aussi présentes dans notre réalité. Aux jeunes de les contester, en faisant preuve d’esprit critique.
Les habitants de Dystopia obéissent à des lois arbitraires qui restreignent considérablement leurs libertés d’agir et de penser. Les jeunes doivent s’y soumettre avant, nous l’espérons, de les abolir. Voici le détail des lois qui conditionneront leur journée.
Les mécanismes de ce grand jeu, quoique connus des animateurs, sont peu utilisés en ACM : les jeunes y incarneront les citoyens d’une société totalitaire imaginaire et, par leurs prises de décision, influeront directement sur l’histoire de cette réalité qui pourrait être…
Quoi de mieux pour comprendre les atteintes aux libertés d’agir et de penser que de les faire vivre aux jeunes dans un cadre ludique ? C’est l’objectif de ce grand jeu original, qui les amènera à coopérer et à s’élever contre l’autoritarisme.
Les nouveaux gourous recrutent sur la Toile et les réseaux sociaux, surfant sur les manques de notre société (mal-être, développement personnel, santé alternative, notamment depuis la crise sanitaire. Entre la quête de sens et l’emprise mentale, il n’y a parfois qu’un clic.
L’Éducation nationale est la première institution de l’enfance portant la responsabilité d’une éducation à la dispute respectueuse et constructive. Mais l’Éducation populaire a aussi un rôle à jouer pour entraîner les jeunes publics aux bons réflexes.