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Nous terminons cette sélection par le biais d’attention, à savoir le fait que l’état d’esprit d’un individu influence la façon dont il reçoit l’information.

Ce biais de raisonnement est la tendance à fonder son jugement à partir d’un nombre restreint d’éléments que nous considérons comme représentatifs plutôt que sur des données statistiques.

Ce biais de raisonnement, relativement fréquent, nous amène à percevoir à tort des coïncidences ou des « signes » dans des données dues au hasard.

Ce biais de jugement est une combinaison de deux biais. Il nous amène à voir plus souvent un élément que nous venons juste de remarquer.

Ce biais de jugement est fondé sur notre difficulté à ne pas oublier une première impression, l’information que nous recevons en premier… encore plus si elle est argumentée.

Ce biais de jugement, aussi appelé biais de confirmation d’hypothèse, est sans aucun doute un des biais cognitifs les plus connus. Il contribue à un excès de confiance en nos croyances.

On a tous entendu parler de ces mécanismes cognitifs qui nous amèneraient à prendre des décisions irrationnelles voire absurdes. Ceux qui en sont victimes sont souvent moqués, alors qu’en vérité nous y sommes tous sensibles.

Pour le peintre russe Wassily Kandinsky, la forme et la couleur n’étaient pas seulement des éléments visuels. À ces yeux, elles possédaient une signification et une force émotionnelle propre. C’est une invitation à voir autrement.

Nous l’avons vu précédemment, la couleur peut être le résultat d’une superposition ou d’une soustraction de pigments. Abordons les couleurs sous un angle plus artistique et continuons de les mélanger.