Ce biais de jugement est une combinaison de deux biais. Il nous amène à voir plus souvent un élément que nous venons juste de remarquer.
Ce biais de jugement est fondé sur notre difficulté à ne pas oublier une première impression, l’information que nous recevons en premier… encore plus si elle est argumentée.
Ce biais de jugement, également nommé effet de surconfiance, est un phénomène intéressant qui, une fois compris, nous amène à prendre du recul face à notre niveau de connaissances.
Ce biais de jugement, aussi appelé biais de confirmation d’hypothèse, est sans aucun doute un des biais cognitifs les plus connus. Il contribue à un excès de confiance en nos croyances.
On a tous entendu parler de ces mécanismes cognitifs qui nous amèneraient à prendre des décisions irrationnelles voire absurdes. Ceux qui en sont victimes sont souvent moqués, alors qu’en vérité nous y sommes tous sensibles.
Pour le peintre russe Wassily Kandinsky, la forme et la couleur n’étaient pas seulement des éléments visuels. À ces yeux, elles possédaient une signification et une force émotionnelle propre. C’est une invitation à voir autrement.
Nous l’avons vu précédemment, la couleur peut être le résultat d’une superposition ou d’une soustraction de pigments. Abordons les couleurs sous un angle plus artistique et continuons de les mélanger.
La relative simplicité de cette question soulève en vérité d’autres interrogations car la couleur, bien qu’omniprésente dans notre quotidien, est un joli paradoxe.
La couleur, omniprésente dans notre quotidien, est un phénomène complexe qui influe de bien des manières sur nous, notre langage et notre imaginaire. Comprendre ce qu’est la couleur, c’est comprendre le monde et aussi les codes qui régissent notre vie.
Le 20 juillet, les membres et partenaires de l’association clermontoise ARTS installaient leurs barnums à Cournon-d’Auvergne, dans le quartier du Lac, et conviaient un large public familial à découvrir les sciences à travers des animations gratuites.
Dorian Seignovert est encore jusqu’à l’été l’animateur de la ludothèque et du fab lab itinérant Chifoumi, qui sillonne les environs d’Annonay en Ardèche. D’espaces de loisirs en écoles, il a proposé aux enfants de 3 à 14 ans pendant un an de nombreuses activités ludiques et techniques… dont la fabrication de petits bolides dits à rétro-friction avec des matériaux de récupération.
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Continuons notre présentation avec cette fois trois projets accessibles à partir de 6 ans.