Les biais cognitifs sont des déviations systématiques de la pensée logique et rationnelle. Ils induisent des erreurs dans nos pensées et faussent notre jugement. Malgré nous.
Nous terminons cette sélection par le biais d’attention, à savoir le fait que l’état d’esprit d’un individu influence la façon dont il reçoit l’information.
Ce biais de raisonnement est la tendance à fonder son jugement à partir d’un nombre restreint d’éléments que nous considérons comme représentatifs plutôt que sur des données statistiques.
Ce biais de raisonnement, relativement fréquent, nous amène à percevoir à tort des coïncidences ou des « signes » dans des données dues au hasard.
Ce biais de raisonnement, parfois appelé heuristique de disponibilité, nous fait croire une chose ou un événement plus probable ou fréquent simplement parce qu’on y pense facilement.
Ce biais de jugement est une combinaison de deux biais. Il nous amène à voir plus souvent un élément que nous venons juste de remarquer.
Ce biais de jugement est fondé sur notre difficulté à ne pas oublier une première impression, l’information que nous recevons en premier… encore plus si elle est argumentée.
Ce biais de jugement, également nommé effet de surconfiance, est un phénomène intéressant qui, une fois compris, nous amène à prendre du recul face à notre niveau de connaissances.
Ce biais de jugement, aussi appelé biais de confirmation d’hypothèse, est sans aucun doute un des biais cognitifs les plus connus. Il contribue à un excès de confiance en nos croyances.
On a tous entendu parler de ces mécanismes cognitifs qui nous amèneraient à prendre des décisions irrationnelles voire absurdes. Ceux qui en sont victimes sont souvent moqués, alors qu’en vérité nous y sommes tous sensibles.
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Il est plus facile de repérer des erreurs dans les dessins des autres que dans les siens. Reconnaître une erreur dans son propre dessin, c’est souvent ressentir une blessure d’amour propre. En revanche, trouver une erreur dans le dessin d’un autre, c’est affirmer sa supériorité. Voici donc des images pour s’entraîner collectivement à repérer les erreurs de logique.